Trunki a écrit : HDM=>▲▲ (oui ceci veut dire attention )
TRANSVERSALE=> Enseignement de la médecine de l'Antiquité au 19ème siècle.
Outch, je vais essayer.
Lors de la Grèce antique, différentes écoles de médecine apparaissent. Tout d'abord, les dogmatistes, initiés par Hippocrate, qui repose sur l'examen clinique, sur l'étude des interactions de l'homme avec son environnement, sur des règles d'éthique et surtout sur la théorie des humeurs (est-ce nécessaire de la développer ?). Hérophile et Erasistrate de l'école d'Alexandrie suivront ces idées, complétées par des dissections qui étaient alors autorisées. Sous l'impulsion des empiristes, pour qui la médecine n'est pas une science logique, les dissections redeviennent interdites dans l'enseignement de la médecine pendant des siècles. Entre temps, on a le petit Aristote qui a fondé l'école des péripathéticiens et qui privilégie le rôle de l'âme et du coeur.
Durant la Rome antique, le savoir médical se propage sans pour autant qu'il y ait de véritables médecins au début. Puis ensuite, la médecine serait enseignée par des immigrés d'origine grecque, comme Asclépios et Soranos qui soignent en fonction de l'état relâché ou tendu des organes, et appartiennent à l'école des méthodistes. D'autres écoles, comme les pneumatistes qui privilégient le rôle du pneuma et les éclectiques qui prennent ce qu'ils considèrent d'important dans chaque théorie. Dioscoride écrit De materia medica qui restera la référence en terme de pharmacopée pendant le moyen-âge. (bon c'était pas très utile à mon avis)
Durant le moyen-âge et à l'époque de la médecine arabe, l'enseigne repose sur une triade : la philosophie d'Aristote, la thèse de Galien et l'astrologie. La médecine Arabe a joué un rôle très important, en traduisant les ouvrages grecques et romains en syriaque, du syriaque à l'arabe, puis plus tard de l'arabe au latin par des enseignants en France comme Constantin l'Africain.
Au début du moyen-âge (jusqu'au 12e siècle), la médecine est dite monastique, car son enseignement est dispensé par les moines auprès des moines. Dans cet enseignement, on parle en particulier de la théorie des signatures, selon laquelle la providence aide les hommes à connaître les propriétés des végétaux. Au 9e siècle est fondé à Salerne une école de médecine, en Italie. Trois siècle plus tard, au 12e siècle, des universités sont apparues un peu partout en Europe. On parle alors de médecine scolastique, car enseignée dans les universités. En particulier en France, l'école de Paris (la futur Sorbonne) enseigne en s'appuyant sur les thèses aristotéliciennes, alors qu'à Montpellier (où enseignera d'ailleurs Constantin l'Africain, Guy de Chaulac et Arnaud de Villeneuve je crois), les thèses d'Hippocrate sont prédominantes. De plus, durant cette époque, disséquer des cadavres pour enseigner est de plus en plus communément admis. Les chirurgiens ne sont pas reconnus à l'université, et sont des laïcs (concile 1130).
A la Renaissance, je sais pas trop quoi dire... Toujours plus de dissections pour connaître le corps humain. On enseigne plus la description que les fonctions des organes.
Au 17e siècle, Louise Bourgeoise conseille à ses consoeurs accoucheuses de suivre des dissections pour bien comprendre l'anatomie de la femme.
Au 18e siècle, à part parler un peu des mécanistes et des vitalistes, je ne vois pas trop de quoi parler non plus.
Au 19e siècle, l'utilisation des percussions et de l'auscultation permet l'émergence de la confrontation anatomo-clinique, à la base de l'enseignement de l'école de Paris, ce qui lui valut un certain succès. Les étudiants de médecine doivent être auprès des malades durant leur enseignement, assistés aux dissections, le concours de l'internat est crée en 1802, anciennement destiné au chirurgien, il met fin à la séparation entre médecin et chirurgien. Pasteur et Koch enseignent la microbie, l'étude des micro-organismes. Ah et la théorie des humeurs disparait progressivement.
Il doit manquer pas mal de choses et y avoir des erreurs je crois
Santé publique : Que dit la législation à propos de la gestation pour autrui ? Citer des arguments des opposants et des défenseurs de cette pratique.