Bonjour,
Dans le cas d’un patient hospitalisé d’une maladie incurable et en fin de vie qui souhaite mourir de sa mort naturelle et ne plus être traité,
Si le médecin veut à tout prix suivre le principe de bienfaisance, il continuera a le traiter au nom d’une bienfaisance physique, au prix d’une malfaisance psychique, morale au patient?
Ou bien il le laissera mourir d’une mort naturelle selon son souhait, au prix d’une malfaisance physique?
Dans les deux cas un bien sera fait, mais aussi un mal.
Imaginons un QCM qui dise : « le principe de bienfaisance pousse le médecin à accepter. »
Je répond quoi?!