C'est un peu l'idée d'un testament (en vraiment grooos
), appliqué aux mesures de fin de vie. Comme ça, ça évite que les médecins et la famille se casse la tête avec les comités d'éthique sur quoi faire, ils regardent ce que le patient voulait du temps où il était conscient et c'est réglé
C'est juste que ça rentre dans plusieurs classifications.
Les droits fondamentaux des personnes regroupent: droit au respect de la dignité, le respect de la confidentialité, le droit à la protection de la santé, le droit des patients en fin de vie. Ils s'appliquent à tous, c'est plus large.
Les droits des usagers du système de santé regroupent: le droit à l'information, l'obligation de recueil du consentement aux soins, la désignation d'une personne de confiance, le droit d'accès direct à son dossier médical, la charte de la personne hospitalisée. Ils s'appliquent aux patients comme son nom l'indique.
Et donc le droit de rédiger des directives anticipées entre dans ces deux classifications (patients en fin de vie et charte de la personne hospi)
j'espère que ça répond à ta question